Judith rangea sa cravache sous sa tunique et entreprit des mouvements circulaires tout en répétant sa première approche, chaque fois plus brutale, ce qui lui donna dix fois l’occasion de fouetter copieusement la poitrine de Sophia.
Celle-ci ne faisait que se cambrer davantage, « obligeant » Judith à lui administrer des coups de cravaches autoritaires sur les flancs et les cuisses :
« Ah, mais tu vas te calmer ?! »
Mais Sophia secouait impétueusement sa crinière, remuant son bassin avec force.
« Oooh… Oh oui, continue, ma belle ! »
Comme Sophia s’agitait, la verge tendue au plus profond de Judith allait, venait, et tournait en elle de façon si erratique que Judith se sentait perdre le contrôle de ses sensations…
Bientôt, elle ne put même plus tenir les rennes, donnant coup sur coup en réponse à chaque mouvement de Sophia, l’incitant à se débattre d’autant plus.
Sophia secoua la tête d’avant en arrière, faisant retomber les lanières, et parvint à se défaire du bâillon.
« Oh non, ça ne va pas se passer comme ça ! »