« Oh, Marc… »
Il l’avait fait. Sa main caressait à-présent le sexe palpitant de son épouse. Il relâcha le sein et se mit à genoux :
« Lily… Tu m’as offert un baiser merveilleux… A mon tour… »
Il posa les mains sur les fesses délicates de Lily pour l’obliger à rester en place et commença à lécher ses petites lèvres, découvrant la chaleur intime de son épouse en y aventurant ses doigts.
Il explora cette cache secrète dans chaque recoin, trouvant une fine bande rugueuse dans le vagin. Il caressa cette bande du bout du doigt…
« Mmmh… Oui… »
Il retenta l’expérience, et Lily l’implorait presque de recommencer à chaque fois. Lui ouvrant totalement sa robe, il la poussa doucement vers le canapé où il la força à s’asseoir, jambes écartées, et plongea sa langue en elle.
« Aaaah… »
Il pouvait goûter le fluide sexuel de sa compagne… Et il le goûtait avec gourmandise : comment avait-il pu ignorer une telle saveur pendant toutes ces années ?
Il lécha son intimité, avide de la moindre goutte de cet arôme succulent que sa langue, toujours plus agile, pouvait déceler et ramener à son palais.
Et les gémissements de Lily… Tantôt profonds, tantôt perchés, alors qu’il pinçait avec tendresse le clitoris apparent entre ses doigts…
Marc embrassa le sexe électrisé de sa femme avec la même fougue de leur tout premier baiser -pas assez pudique, avait jugé leur entourage-.
Lily fouillait sous le coussin du canapé. Alors que Marc semblait se relâcher un peu, il sentit quelque chose lui caresser le dos… Et s’aperçut qu’il s’agissait d’un martinet aux lanières de cuir souple.
Lily le tenait ainsi sous son joug de velours, un large sourire coquin sur les lèvres :
« Maintenant, tu vas faire ce que je dis, sinon, au lieu de la fille du Père Noël, tu auras celle du Père Fouettard… »