Elle plongea la main sous la tenue afin d’apprécier la forme exacte de ces sous-vêtements qui la surprenaient, et elle sentit une fine poudre s’accrocher à ses doigts humides.
Elle ressortit sa main et huma :
–Sucre… Voyons…–
Elle lécha prudemment : un fort arôme sucré fit frétiller ses papilles.
« Mademoiselle, je suis dans l’obligation de vérifier vos sous-vêtements. »
« Pardon ?! »
Annie n’attendit pas l’approbation de sa captive, sachant qu’elle ne la donnerait en aucun cas, et ôta prudemment la tenue de fonction pour ne pas endommager les sous-vêtements suspects…
L’infirmière était maintenant seulement vêtue de ses bottines, son soutien-gorge, et le string qu’Annie lui avait palpé par-devant…
Et ces deux derniers semblaient entièrement composés de bonbons.
–C’est ainsi que l’on perturbe l’odorat des chiens, hmmm…?–
Si son intuition était juste, cela voulait dire qu’elle cachait forcément la drogue…
« Eh ! »
« N’opposez aucune résistance ! »
Annie léchait lentement le string coloré de l’infirmière : au vu de ce qu’elle avait déjà ingéré, cela ne pouvait être le conditionnement spécial de la drogue…
Elle était cachée ailleurs… Bien plus loin que là où l’œil et la main pouvaient apprécier…
« Hmmm… »
L’infirmière sentait les bonbons frotter délicatement son clitoris et sa vulve au gré des coups de langue de l’Agent de police, par vagues lascives et parfois appuyées.