Annie se plaça devant l’infirmière et continua son inspection particulière : elle était absolument certaine de son intuition.
Bientôt, le fluide sexuel de l’infirmière se mêla à l’arôme des sucreries tantôt croquées, tantôt fondues, et l’Agent Annie s’en abreuva en lapant avec vigueur le vagin offert :
–C’est étrange… Voilà un goût peu familier…–
L’infirmière jouissait le plus silencieusement possible : la langue d’Annie léchait presque directement ses lèvres intimes, et ses jambes en tremblaient.
Doucement, Annie ouvrit le sexe de la jeune infirmière en y glissant deux doigts :
« Parlez maintenant : est-elle ici…? »
Comme Annie écartait avec précaution le col du vagin de ses doigts glacés par sa nuit de traque, l’infirmière ne put retenir une contraction de son sexe :
« Oui… »
« Vous tentez de dissimuler les preuves ! »
Annie devint plus brutale, plongeant ses doigts à l’intérieur du vagin brûlant…
« Oh oui ! »
–Je m’en doutais… On résiste…–
Elle fouilla chaque recoin de l’intimité sucrée et toucha une rugosité extravagante :
« Qu’est-ce-donc que cela ? Une boule de drogue ? »
« Oh non, c’est -Aaaaah ! »
Annie avait tenté de retirer l’objet, appuyant par mégarde sur cette fameuse rugosité, ce qui semblait avoir déclenché des vibrations très intenses.
« Je vois, c’est comme ça que la drogue est détruite en cas de fouille ! »
Annie avait déjà eu affaire à un tel procédé. Mais elle allait retirer cet engin avant qu’il n’ait achevé son œuvre !