Elle heurta alors l’objet qui vibrait toujours au fond du sexe de sa captive.
« Hmmm, oui… »
Annie faisait en sorte de remettre l’objet en place afin de faciliter son extraction, puis elle retira presque entièrement la matraque… Pour la replonger aussitôt au plus profond du sexe secoué d’un plaisir incontrôlable :
« Aaaah ! Encore ! »
L’infirmière ne maîtrisait définitivement plus ses paroles : la sensation de ces deux corps étrangers tremblant avec tant de force en elle lui arrachait des cris et des gémissements en continu.
Annie retira finalement la matraque et passa la main dans le sexe béant de l’infirmière :
« Le voilà ! »
Elle avait attrapé l’engin, et s’affairait maintenant à le ramener. Au passage, elle le fit trainer doucement sur la partie rugueuse du vagin, ce qui provoqua un orgasme soudain chez l’infirmière.
Annie considéra l’objet qu’elle avait sorti du sexe coupable : une sorte de masseur clitoridien.
« C’est une plaisanterie, je suppose ? »
« Je vous l’ai dit… Je ne cachais pas de drogue… »
Annie haussa des épaules :
« Bien, je vous présente toutes mes excuses… Pour la gêne occasionnée… »
« Je sais que vous pourriez être en examen pour brutalité policière… Mais je suis ouverte à un arrangement entre nous pour oublier tout ça… »
La main gauche de l’infirmière palpait le sein d’Annie.
–Tu n’as pas le choix, elle pourrait porter plainte…–
Annie acquiesça et défit les menottes :
« Bien, quelle est votre proposition ? »
« Laissez-moi simplement faire, et après, n’en parlons plus… »
Annie ne bougea pas, et l’infirmière baissa son pantalon et sa culotte :
« Je vais tout simplement vous examiner. »